Né le 31 juillet 1956 à Paris (14ème), Ancien élève de l'École Nationale d'Administration (promotion "Henri François d'Aguesseau"), Membre du Centre d'Études, de Recherches et d'Éducation Socialistes (CÉRÈS, courant du PS) puis du Mouvement des Démocrates de Michel Jobert (gaulliste "de gauche"), Chargé de mission au cabinet de Michel Jobert, ministre d'État, ministre du Commerce extérieur (1982-1983), Directeur de cabinet de Philippe de Saint-Robert puis de Bernard Billaud, commissaires généraux de la langue française (1984-1988), Chargé de mission au cabinet de Jean-Pierre Chevènement, ministre de la défense (1989-1991), Participe en 1990 à la création de la Convention pour la Vème République (gaulliste "de gauche"; président : Jean Charbonnel), Conseiller technique au cabinet de Boutros Boutros Ghali, secrétaire général de l'ONU (1991-1993) , Conseiller technique au cabinet de Philippe Séguin (RPR), président de l'Assemblée Nationale (1993-1996), Rédacteur en chef de la revue trimestrielle du RPR Une Certaine Idée (1998-1999), Élu parlementaire européen sur la liste souverainiste de Charles Pasqua et Philippe de Villiers aux élections européennes de 1999 (13ème de liste). Participe ensuite à la création du Rassemblement pour la France (RPF), démissionne du RPF en juin 2000. Cofondateur, avec deux autres parlementaires européens ex-RPF (William Abitbol et Florence Kuntz) de l'association Combats Souverainistes. Quitte, le 12 mars 2001, le groupe Union pour l'Europe des Nations (UEN) du Parlement européen et rejoint celui de l'Europe des Démocraties et des Différences (EDD).
“De traité de Nice en statut de la Corse, l’État abandonne ses responsabilités les unes après les autres, livrant les Français aux appétits des partis, des lobbies, des ethnies et des clans, et par là à l’arbitraire d’une mondialisation sans retenue. Quant au projet européen, faute d’autre horizon que ce marché planétaire, il s’effrite au même rythme que sa prétendue monnaie …Rien n’est cependant perdu. Ici et là des combats s’organisent, des résistances se font jour qui ont en commun le même souci de l’Homme et la même idée du droit des peuples. Pasqua, Saint-Josse, Chevènement, Bové, illustrent chacun à sa façon, ce refus du monde tel qu’il va. C’est dans cet esprit que nous créons "Combats souverainistes". Nous voulons permettre à toutes celles et ceux qui se reconnaissent dans ces ruptures ou qui pourraient s’y retrouver, d’imaginer ensemble les voies et les moyens d’une démarche politique nouvelle, en-dehors des partis, à l’écart des combinaisons électorales, et sans autre camp que celui de la France ”
William Abitbol, Paul-Marie Coûteaux et Florence Kuntz, 9 janvier 2001
William Abitbol, Paul-Marie Coûteaux et Florence Kuntz, 9 janvier 2001
Cofondateur en décembre 2001 avec Jean-Paul Bled (président des États Généraux de la Souveraineté Nationale) de l'association Entente Souverainiste, dont il sera président puis président d'honneur (aux côtés du général Pierre-Marie Gallois). Soutient Jean-Pierre Chevènement à l'élection présidentielle de 2002 (avec les ex-RPF William Abitbol, Jean-Christophe Comor, Florence Kuntz...). Cofondateur, le 26 avril 2003, du Rassemblement pour l'Indépendance et la Souveraineté de la France (RIF), fusionnant notamment l'Entente Souverainiste et les États Généraux de la Souveraineté Nationale. Réélu aux élections européennes de 2004 en tant que tête de liste du Mouvement pour la France (MPF) de Philippe de Villiers dans sa circonscription d'Île-de-France.
Aujourd’hui on peut lire dans son éditorial :
Aujourd’hui on peut lire dans son éditorial :
“Contre les souverainistes, le Système a bien réglé sa machine : nous sommes contre tout ; anti-européens, puisque nous nous opposons à la Constitution européenne ; anti-américains, puisque nous condamnons la guerre américaine en Irak ; antiturcs, puisque nous ne voulons pas de la Turquie dans l'Union européenne ; antimusulmans puisque nous refusons les dérives communautaristes et l'aménagement des horaires de piscine ou des menus de cantine pour complaire aux associations islamistes ; anti-jeunes puisque nous nous élevons contre l'absurde complaisance qui saccage des champs et quelquefois des vies sous le prétexte très festif de "rave-parties" ; anti-homos, puisque le mariage nous paraît répondre d'abord à une nécessité précise, élever des enfants ; et encore, nous serions "anti-pauvres" pour refusé l'hypocrisie entourant les obsèques de l'Abbé Pierre ! Bref, on aimerait que nous jouions sagement le rôle de petits blancs en guerre contre le monde entier, apeurés par toutes ses évolutions, retranchés dans un nouveau Fort Chabrol.
En réalité, nous sommes tout le contraire. Nous sommes pour l'Europe, cette Europe de l'Atlantique à l'Oural qui organiserait les coopérations multiples et ouvertes entre tout ou partie de ses quarante peuples ; nous n'avons rien contre la Turquie, qui peut devenir une des grandes puissances régionales, de surcroît alliée de la France comme elle le fut souvent ; rien contre le monde musulman dont une bonne partie est francophone et avec qui nous entendons construire, déjouant le piège épouvantable du choc des civilisations, un espace de coopération tous azimuts, la francophonie ; et nous ne sommes pas davantage contre les jeunes, ces jeunes qui constituent une grande partie de nos militants et de nos électeurs, plus nombreux que chez beaucoup d'autres...Nous n'avons pas peur puisque, bien seuls en cela, nous avons confiance en la France ; nous savons qu'elle a connu des crises et des plus graves avant de se redresser tôt ou tard quand elle est bien menée "sous l'égide d'un Etat fort" comme disait de Gaulle ; et nous savons que la nation est justement faite pour prendre en compte chacun de ses fils, qu'un chef d'Etat doit s'adresser à chacun sans esprit d'exclusion, n'appartenir à personne en particulier pour appartenir à tous. Parce que nous aimons la nation, notre premier souci est de créer sans cesse du lien - de renouer les fils de la trame nommée civilisation française et qui a besoin de tous, y compris de l'apport constant de nouveaux venus. Parce que nous aimons la nation, nous faisons nôtre tout ce qui est national, et nous serrons la main à tous les hommes de bonne volonté qui veulent la défendre d'où qu'ils viennent, qu'ils soient de droite ou pas, qu'ils soient jeunes ou moins jeunes, qu'ils soient nés en France ou qu'ils ne le soient pas, pourvu qu'ils l'aiment”.
En réalité, nous sommes tout le contraire. Nous sommes pour l'Europe, cette Europe de l'Atlantique à l'Oural qui organiserait les coopérations multiples et ouvertes entre tout ou partie de ses quarante peuples ; nous n'avons rien contre la Turquie, qui peut devenir une des grandes puissances régionales, de surcroît alliée de la France comme elle le fut souvent ; rien contre le monde musulman dont une bonne partie est francophone et avec qui nous entendons construire, déjouant le piège épouvantable du choc des civilisations, un espace de coopération tous azimuts, la francophonie ; et nous ne sommes pas davantage contre les jeunes, ces jeunes qui constituent une grande partie de nos militants et de nos électeurs, plus nombreux que chez beaucoup d'autres...Nous n'avons pas peur puisque, bien seuls en cela, nous avons confiance en la France ; nous savons qu'elle a connu des crises et des plus graves avant de se redresser tôt ou tard quand elle est bien menée "sous l'égide d'un Etat fort" comme disait de Gaulle ; et nous savons que la nation est justement faite pour prendre en compte chacun de ses fils, qu'un chef d'Etat doit s'adresser à chacun sans esprit d'exclusion, n'appartenir à personne en particulier pour appartenir à tous. Parce que nous aimons la nation, notre premier souci est de créer sans cesse du lien - de renouer les fils de la trame nommée civilisation française et qui a besoin de tous, y compris de l'apport constant de nouveaux venus. Parce que nous aimons la nation, nous faisons nôtre tout ce qui est national, et nous serrons la main à tous les hommes de bonne volonté qui veulent la défendre d'où qu'ils viennent, qu'ils soient de droite ou pas, qu'ils soient jeunes ou moins jeunes, qu'ils soient nés en France ou qu'ils ne le soient pas, pourvu qu'ils l'aiment”.
Et, pour en savoir un peu plus, allez donc voir le blog ou le podcast de P2V.fr - mardi 06 février 2007 http://www.pourlafrance.fr ou http://p2v.libcast.com/feed.rss -
et Monsieur Philippe Le Jolis de Villiers de Saintignon, plus connu sous le nom de Philippe de Villiers, homme politique français, né le 25 mars 1949 à Boulogne en Vendée, issu d'une famille normande anoblie par lettres patentes en 1595, il est marié et père de sept enfants.
L'un de ses ancêtres directs, Léonor Le Jolis de Villiers, fut maire de Saint-Lô, puis député (conservateur) de la Manche sous la Restauration. Son père, Jacques de Villiers (1913-2000) est le fils de Louis le Jolis de Villiers, capitaine « mort pour la France » le 10 septembre 1914. Jacques de Villiers est né en Lorraine et il y est élevé par la famille de sa mère (les Saintignon) dans laquelle il est officiellement adopté. Il a été compagnon d'armes de Jean de Lattre de Tassigny. [L' ADIMAD (Association pour la défense des intérêts moraux et matériels des anciens détenus et exilés politiques de l'Algérie française), qui maintient le souvenir de l'OAS, revendique Jacques de Villiers parmi ses « camarades » disparus .... Jacques de Villiers fut en effet impliqué en 1962 dans le réseau OAS-Ouest dirigé par Horace Savelli] Installé en Vendée après son mariage, il devient maire de Boulogne de 1947 à 1983 à la suite de plusieurs membres de la famille de son épouse. Il est également conseiller général des Essarts, vice-président du conseil général de la Vendée de 1973 à 1987, et conseiller régional des Pays de la Loire jusqu'en mars 1992. Il guide les premiers pas de son fils en politique.
Après des études au collège Saint-Joseph de Fontenay-le-Comte, Philippe de Villiers obtient une maîtrise de droit public (obtenue à Nantes en 1971) et le diplôme de l'Institut d'études politiques de Paris. Elève de l'ENA de 1976 à 1978 (promotion Pierre Mendès-France), il intègre le corps préfectoral à la sortie de l'école en étant nommé directeur de cabinet du préfet de la Charente-Maritime.
Entre-temps, il se rapproche de la Nouvelle Action royaliste, branche dissidente de la Restauration nationale.
Sous-préfet de Vendôme (Loir-et-Cher), il demande une mise en disponibilité au lendemain de la victoire de François Mitterrand aux élections présidentielles de mai 1981, pour ne pas servir un pouvoir de gauche avec lequel il se dit en profond désaccord. Il devient alors délégué général de la Chambre régionale de Commerce et d'Industrie des Pays de la Loire.
En novembre 1981, tirant profit de la décision de François Mitterrand d'autoriser les radios libres, il crée aux Herbiers la station Alouette FM, avant d'en laisser la présidence à son frère Bertrand. En 1982, il fonde Alouette Hebdo.
En 1984-1985, il démissionne de l'administration, après avoir créé en 1983 une école privée de communication, Sciences Com, initialement fondée sous l'appellation de Fondation pour les arts et les sciences de la communication.
Il est le créateur en 1977 du spectacle du Puy du Fou, sur le site du château du même nom, que le Conseil général de la Vendée achète au prix du terrain (800 000 francs pour 30 hectares). Il y met en scène une « cinescénie », qui devient rapidement le plus grand spectacle son et lumière en France. Tous les vendredis et samedis soir d'été, des bénévoles retracent l'histoire de la Vendée et du château du Puy du Fou. On y voit notamment des scènes du conflit vendéen lors de la Révolution française. Le spectacle est un succès populaire. Il accueille 1 million de spectateurs par an, et il s'est doublé depuis 1989 d'un parc d'attractions (« Le Grand Parc ») doté de nouveautés chaque année. Celle de 2006 est un grand théâtre équestre (3000 places assises) où se déroulera un spectacle de cape et d'épée intitulé « Mousquetaire de Richelieu ». Le succès du Puy du Fou lui vaudra d'apparaître dans l'émission de télévision de vulgarisation économique Vive la crise, en février 1984, aux côtés de l'acteur Yves Montand et de l'ancien commissaire au plan Michel Albert, comme un exemple de réponse à la crise économique par l'esprit d'entreprise.
Philippe de Villiers adhère au Parti républicain en 1985.
En 1988, il est nommé « délégué national, chargé des milieux culturels et des relations avec la jeunesse » de l'UDF.
Il crée son propre mouvement en 1991, Combat pour les valeurs, quitte l'UDF en 1994, et fonde alors le MPF, - Mouvement pour la France -, parti politique de droite souverainiste.
Son évolution conduit Philippe de Villiers à se revendiquer aujourd'hui comme étant en dehors du système politique qu'il nomme, à l'instar de Jean-Marie Le Pen, le « système UMPS ». Cette position lui est toutefois vigoureusement contestée par le Front national, qui ne cesse de pointer la constance des alliances politiques du MPF avec le parti chiraquien, l'UMP, et avec l'UDF, au niveau des collectivités locales et régionales.
Sur le plan des idées politiques, Philippe de Villiers se situe dans la ligne d'un catholicisme traditionnel. Il a défendu l'inscription de la référence à l'héritage chrétien dans le projet de constitution européenne. Il dénonce aujourd'hui ce qu'il appelle l'islamisation de la société française et le communautarisme lors de son discours de déclaration de candidature pour l'Elysée, le 11 septembre 2005. Il a par ailleurs investi comme n°2 du MPF Guillaume Peltier, ancien directeur national du Front National de la Jeunesse (FNJ) et ancien militant du Mouvement National Républicain (MNR), passé au MPF dès 2001.
Après des études au collège Saint-Joseph de Fontenay-le-Comte, Philippe de Villiers obtient une maîtrise de droit public (obtenue à Nantes en 1971) et le diplôme de l'Institut d'études politiques de Paris. Elève de l'ENA de 1976 à 1978 (promotion Pierre Mendès-France), il intègre le corps préfectoral à la sortie de l'école en étant nommé directeur de cabinet du préfet de la Charente-Maritime.
Entre-temps, il se rapproche de la Nouvelle Action royaliste, branche dissidente de la Restauration nationale.
Sous-préfet de Vendôme (Loir-et-Cher), il demande une mise en disponibilité au lendemain de la victoire de François Mitterrand aux élections présidentielles de mai 1981, pour ne pas servir un pouvoir de gauche avec lequel il se dit en profond désaccord. Il devient alors délégué général de la Chambre régionale de Commerce et d'Industrie des Pays de la Loire.
En novembre 1981, tirant profit de la décision de François Mitterrand d'autoriser les radios libres, il crée aux Herbiers la station Alouette FM, avant d'en laisser la présidence à son frère Bertrand. En 1982, il fonde Alouette Hebdo.
En 1984-1985, il démissionne de l'administration, après avoir créé en 1983 une école privée de communication, Sciences Com, initialement fondée sous l'appellation de Fondation pour les arts et les sciences de la communication.
Il est le créateur en 1977 du spectacle du Puy du Fou, sur le site du château du même nom, que le Conseil général de la Vendée achète au prix du terrain (800 000 francs pour 30 hectares). Il y met en scène une « cinescénie », qui devient rapidement le plus grand spectacle son et lumière en France. Tous les vendredis et samedis soir d'été, des bénévoles retracent l'histoire de la Vendée et du château du Puy du Fou. On y voit notamment des scènes du conflit vendéen lors de la Révolution française. Le spectacle est un succès populaire. Il accueille 1 million de spectateurs par an, et il s'est doublé depuis 1989 d'un parc d'attractions (« Le Grand Parc ») doté de nouveautés chaque année. Celle de 2006 est un grand théâtre équestre (3000 places assises) où se déroulera un spectacle de cape et d'épée intitulé « Mousquetaire de Richelieu ». Le succès du Puy du Fou lui vaudra d'apparaître dans l'émission de télévision de vulgarisation économique Vive la crise, en février 1984, aux côtés de l'acteur Yves Montand et de l'ancien commissaire au plan Michel Albert, comme un exemple de réponse à la crise économique par l'esprit d'entreprise.
Philippe de Villiers adhère au Parti républicain en 1985.
En 1988, il est nommé « délégué national, chargé des milieux culturels et des relations avec la jeunesse » de l'UDF.
Il crée son propre mouvement en 1991, Combat pour les valeurs, quitte l'UDF en 1994, et fonde alors le MPF, - Mouvement pour la France -, parti politique de droite souverainiste.
Son évolution conduit Philippe de Villiers à se revendiquer aujourd'hui comme étant en dehors du système politique qu'il nomme, à l'instar de Jean-Marie Le Pen, le « système UMPS ». Cette position lui est toutefois vigoureusement contestée par le Front national, qui ne cesse de pointer la constance des alliances politiques du MPF avec le parti chiraquien, l'UMP, et avec l'UDF, au niveau des collectivités locales et régionales.
Sur le plan des idées politiques, Philippe de Villiers se situe dans la ligne d'un catholicisme traditionnel. Il a défendu l'inscription de la référence à l'héritage chrétien dans le projet de constitution européenne. Il dénonce aujourd'hui ce qu'il appelle l'islamisation de la société française et le communautarisme lors de son discours de déclaration de candidature pour l'Elysée, le 11 septembre 2005. Il a par ailleurs investi comme n°2 du MPF Guillaume Peltier, ancien directeur national du Front National de la Jeunesse (FNJ) et ancien militant du Mouvement National Républicain (MNR), passé au MPF dès 2001.
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