C’est ce qu’aurait voulu affirmer le Monde du 22 janvier 2007 en disant que “L’Eglise sera vaincue par le libéralisme” … d’après la “plume” du sociologue, auteur de cet article … mais il ne parlait pas de la Marche pour la Vie … seulement des sondages concernant le recul quantitatif de la foi.
Un minimum de réflexion et d’expérience historique montrent les limites d’un raisonnement sur la foi fondé dans l’individualisme et le relativisme libéral.
A l’heure de l’anticléricalisme, de la “christianophobie”, voire de la “cathophobie”, il paraît urgent de se rendre compte des conséquences que cela porte aux quatre coins de la terre, sans compter que cet état de fait n’est autre que l’annonce des toutes fins dernières du monde.
L’Eglise, on le sait, a de tous temps été critiquée, jugée, instrumentalisée. Sans revenir sur le passé, nous déplorons qu’elle ne soit aujourd’hui que plus vivement violentée, tant sur le plan politique- avec par exemple le refus d’accorder le simple droit à la vie- qu’au niveau interreligieux- avec le scandale récent dû à une interprétation médiatique détournée et erronée du discours du Pape en Bavière.
“Face aux dramatiques événements du Moyen-Orient, devant les situations de souffrance provoquées par la violence dans de nombreuses régions du monde, le message transmis par Charles Péguy dans “Le mystère de la Charité de Jeanne d’Arc”, demeure une source de réflexion très profitable. Puisse Dieu entendre la prière de la sainte de Domremy et la nôtre, et donner à notre monde la paix à laquelle il aspire ! ”
C’est ainsi qu’en France, à l’heure des élections, les slogans de campagne se répondent sans réellement s’opposer, les grands sujets ou plutôt les grands maux de la France identifiés par des analystes arbitraires définissent à eux seuls, et à l’exclusion de tout autre point, la grille des problèmes sur laquelle chacun se positionnera : insécurité, immigration, baisse du pouvoir d’achat, éducation, délocalisations, Europe … Ainsi la compartimentation de chaque problème, qui évite de se pencher sur le mal français dans son ensemble (crise spirituelle, identitaire et morale), appelle des réponses qui même qualifiées de « plutôt de droite » ou de «plutôt de gauche» n’amènent jamais l’électeur à se poser une question plus "métapolitique” sur les causes profondes de “La France qui tombe” (1).
Alors que la chancelière allemande Angela Merkel, qui a fait part cette semaine de ses projets de relance de la Constitution européenne, a de nouveau estimé que le projet de loi fondamentale n'accordait pas, en l'état, suffisamment d'importance au rôle du christianisme en Europe : “J'aurais préféré que l'on reconnaisse plus clairement les racines chrétiennes de l'Europe” , a-t’elle déclaré dans une interview dans l'hebdomadaire Focus.
La question que se posait Lénine de savoir “que faire ?” il y a plus d’un siècle est aujourd’hui plus que jamais d’actualité. Certes, la comparaison n’est pas possible entre un patriote soucieux du bien commun et du respect de la personne de sa conception jusqu’à sa mort, et un révolutionnaire nihiliste justifiant le mensonge et l’assassinat au nom de la prétendue sainteté de sa finalité : la révolution socialiste internationale.
Il n’empêche, un homme de bonne volonté ne peut faire l’économie de cette réflexion fondamentale qui est celle des moyens pour mettre en œuvre les principes salutaires pour la cité… cela au risque de devenir un velléitaire.
Un minimum de réflexion et d’expérience historique montrent les limites d’un raisonnement sur la foi fondé dans l’individualisme et le relativisme libéral.
A l’heure de l’anticléricalisme, de la “christianophobie”, voire de la “cathophobie”, il paraît urgent de se rendre compte des conséquences que cela porte aux quatre coins de la terre, sans compter que cet état de fait n’est autre que l’annonce des toutes fins dernières du monde.
L’Eglise, on le sait, a de tous temps été critiquée, jugée, instrumentalisée. Sans revenir sur le passé, nous déplorons qu’elle ne soit aujourd’hui que plus vivement violentée, tant sur le plan politique- avec par exemple le refus d’accorder le simple droit à la vie- qu’au niveau interreligieux- avec le scandale récent dû à une interprétation médiatique détournée et erronée du discours du Pape en Bavière.
“Face aux dramatiques événements du Moyen-Orient, devant les situations de souffrance provoquées par la violence dans de nombreuses régions du monde, le message transmis par Charles Péguy dans “Le mystère de la Charité de Jeanne d’Arc”, demeure une source de réflexion très profitable. Puisse Dieu entendre la prière de la sainte de Domremy et la nôtre, et donner à notre monde la paix à laquelle il aspire ! ”
C’est ainsi qu’en France, à l’heure des élections, les slogans de campagne se répondent sans réellement s’opposer, les grands sujets ou plutôt les grands maux de la France identifiés par des analystes arbitraires définissent à eux seuls, et à l’exclusion de tout autre point, la grille des problèmes sur laquelle chacun se positionnera : insécurité, immigration, baisse du pouvoir d’achat, éducation, délocalisations, Europe … Ainsi la compartimentation de chaque problème, qui évite de se pencher sur le mal français dans son ensemble (crise spirituelle, identitaire et morale), appelle des réponses qui même qualifiées de « plutôt de droite » ou de «plutôt de gauche» n’amènent jamais l’électeur à se poser une question plus "métapolitique” sur les causes profondes de “La France qui tombe” (1).
Alors que la chancelière allemande Angela Merkel, qui a fait part cette semaine de ses projets de relance de la Constitution européenne, a de nouveau estimé que le projet de loi fondamentale n'accordait pas, en l'état, suffisamment d'importance au rôle du christianisme en Europe : “J'aurais préféré que l'on reconnaisse plus clairement les racines chrétiennes de l'Europe” , a-t’elle déclaré dans une interview dans l'hebdomadaire Focus.
La question que se posait Lénine de savoir “que faire ?” il y a plus d’un siècle est aujourd’hui plus que jamais d’actualité. Certes, la comparaison n’est pas possible entre un patriote soucieux du bien commun et du respect de la personne de sa conception jusqu’à sa mort, et un révolutionnaire nihiliste justifiant le mensonge et l’assassinat au nom de la prétendue sainteté de sa finalité : la révolution socialiste internationale.
Il n’empêche, un homme de bonne volonté ne peut faire l’économie de cette réflexion fondamentale qui est celle des moyens pour mettre en œuvre les principes salutaires pour la cité… cela au risque de devenir un velléitaire.
1 commentaire:
Blog(fermaton.over-blog.com)No-20, THÉORÈME PORZIUNCOLA.-Le Nouveau Père de l'Europe.
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